Suite et fin de mes notes de lectures martiennes, entamées avec les mangas qui font du bien, j’entends par là ceux qui font chaud au coeur, qui font sourire et qui remontent le moral. Mais après cette médecine douce, les lectures du mois de mars auront été également riches en émotions fortes, à base de mystères à résoudre, de morts annoncées, de coups de hache ou de sabre, et de phénomènes paranormaux. Allez hop, dans le vif du sujet. Continue reading
Ce mois de mars aura été très particulier. Bien sûr, rien ne saurait être comparé au malheur qui frappe les japonais, et surtout pas les doutes existentiels d’un blogueur bien au chaud chez lui. Mais impossible de faire comme si le cataclysme du 11 mars, et ses conséquences nucléaires, n’étaient pas arrivés. J’ai fait part ici de mes interrogations, à chaud, et je n’y reviendrai pas aujourd’hui.
D’autre part, je ne sais pas si c’est une fausse impression, mais je me demande dans quelle mesure le concours des Sama Awards n’a pas eu un effet inattendu sur ma production (et peut-être celle d’autres blogueurs). Lassitude, flemme, pression, angoisse de la page blanche, appelez-ça comme vous voulez, mais ce n’est même plus du retard que j’ai pris, je suis carrément à l’arrêt. J’ai un sujet. J’ai la matière. Et un calendrier. Mais impossible de m’y mettre. Et ça a même mis en retard ma production habituelle… Continue reading
Piano Forest (Piano no Mori)
de Masayuki Kojima
Madhouse, 2007 (France 2009)
d’après le manga de Makoto Isshiki :
Piano no Mori – the perfect world of Kai
Crédits musicaux :
Compositions originales de Keisuke Shinohara
Oeuvres de Bach, Mozart, Beethoven,
Mendelssohn et Chopin
Conseiller artistique et pianiste : Vladimir Ashkenazy – Elèves pianistes : Mariko Nogami et Kentarô Hashimoto
Orchestre Philharmonique Tchèque,
dirigé par Mario Klemens Continue reading
(Ce n’est pas un nouveau billet, mais un remontage d’un post que j’ai publié la première fois en septembre 2010… je le trouve approprié, la vidéo en dit assez long et peut redonner le sourire… voilà)
Si vous vous demandez d’où vient cette image d’un ange volant dans le ciel, oui, vous l’avez reconnue, c’est bien du Miyazaki. Le maître du studio Ghibli n’a pas réalisé que des longs métrages, il s’est aussi illustré dans ce qui est une sorte de chef d’oeuvre du genre, tout son imaginaire dans un court de 6mn45, avec une vraie histoire, dramatique, émouvante, pleine d’humanité.
J’adore, je ne m’en lasse pas. Et en hommage, j’ai choisi cette image comme symbole de tout ce que j’aime dans le monde de l’anime.
Assez de blabla, place à la vidéo :
