Suite de mes pérégrinations autour de chez moi. Où les portes, que je n’ai pas pour habitude de regarder particulièrement (quoi du plus banal qu’une porte?), m’ont frappé par leur variété de formes : larges, étroites, rectangulaires, arrondies, en ogive, vitrées ou en bois massif, parfois renforcées de ferrures… Souvent, elles sont le seul élément remarquable d’une bâtisse aujourd’hui modeste, témoin survivant d’une splendeur passée ; ou au contraire, elles atténuent par leur banalité la grandiloquence d’une façade alourdie par l’histoire…
Rue aux Prêtres, dissimule un jardin de ville.
Rue des Écuyers. La symétrie des pots de fleurs, en lutte contre la pente de la rue.
Rue des Écuyers. La porte est si petite, que l’oeil-de-boeuf est à hauteur de visage…
Rue de la Foulerie. Ici, la fenêtre était une ancienne porte à chariots?
Près du Pont Bouju. Médiéval et psychédélique, ce n’est pas incompatible.
Rue Saint-Pierre. Sans style ni âge. Ici, rien n’est droit.
Place St Pierre. Château-fort ? Donjon? Non : église.
La prochaine fois, lira les plaques de rues.
Pingback: Basse-ville (1) | Les chroniques d'un newbie
Pingback: Basse-ville (4), neige | Les chroniques d'un newbie