En Basse-ville, il n’y a pas que la rivière, ni que des portes ouvertes ou fermées : les façades s’ornent de curieuses plaques, rappelant d’encore plus étranges noms de rues : rue du Puits d’Or, rue de la Grenouillère, Rue de la Planche aux Carpes… Occasion d’ajouter une touche de poésie et d’absurde sur des façades souvent grises.
Les béguines, ou filles-Dieu, étaient des femmes vivant en communauté sur un mode quasi-monacal. On trouve des béguinages surtout dans le nord, notamment en Flandres.
Presque pile en face de la précédente, le Chêne-Doré était probablement une auberge.
Pas une vraie rue, mais un passage entre la rue des Écuyers et la rue aux Juifs.
Rue de la Foulerie, rappel du temps où on « foulait » les tissus pour les teindre.
Pas facile à trouver celui-là. Notez le motif en faux code-barres.
Celui-là signale l’entrée dans la Basse-ville, pour ceux qui viennent de Paris.
A 10 mètres de chez moi, Saint Hilaire porte un pont sur sa tête.
Et pour finir ce post (mais il y a bien d’autres plaques à trouver), à l’autre bout de la place, c’est Saint Pierre qui garde toutes les clés.
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